Elisabeth gets her way

Elisabeth gets her way

Danse
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    Ajouter à mon agenda 2024-05-14 00:00:00 2024-05-14 00:00:00 Elisabeth gets her way Baroque le clavecin ? Pas sous les doigts de la Polonaise Elisabeth Chojnacka. Le chorégraphe Jan Martens donne un portrait dansé de cette muse des compositeurs contemporains du XXe qui fit sortir l’instrument de ses gonds.   Joue-t-on de son corps comme d’un instrument de musique ? Le Flamand Jan Martens s’y essaie pour mettre en dialogue son écriture chorégraphique avec une matière sonore peu commune. Innovant, frénétique, radical, tel était le jeu de l’interprète Elisabeth Chojnacka qui dévoua sa carrière à l’extension du domaine du clavecin. Indissociable du répertoire baroque, la Polonaise l’a pourtant déplacé dans le champ contemporain avec sa pratique singulière. Des maîtres du genre comme Górecki et Xenakis ont écrit pour elle, et son héritage se défriche encore. C’est cette trajectoire sans pareille que retrace le solo Elisabeth gets her way, à la fois documentaire sur scène et réflexion artistique. Nu ou en costume, Jan Martens répond par la transe aux textures inouïes et à la virtuosité rythmique de la musicienne, disparue en 2017. . Comédie de Clermont - Scène nationale Ville de clermont admin@admin.fr Europe/Paris public
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Comédie de Clermont - Scène nationale
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Baroque le clavecin ? Pas sous les doigts de la Polonaise Elisabeth Chojnacka. Le chorégraphe Jan Martens donne un portrait dansé de cette muse des compositeurs contemporains du XXe qui fit sortir l’instrument de ses gonds.

 

Joue-t-on de son corps comme d’un instrument de musique ? Le Flamand Jan Martens s’y essaie pour mettre en dialogue son écriture chorégraphique avec une matière sonore peu commune. Innovant, frénétique, radical, tel était le jeu de l’interprète Elisabeth Chojnacka qui dévoua sa carrière à l’extension du domaine du clavecin. Indissociable du répertoire baroque, la Polonaise l’a pourtant déplacé dans le champ contemporain avec sa pratique singulière. Des maîtres du genre comme Górecki et Xenakis ont écrit pour elle, et son héritage se défriche encore. C’est cette trajectoire sans pareille que retrace le solo Elisabeth gets her way, à la fois documentaire sur scène et réflexion artistique. Nu ou en costume, Jan Martens répond par la transe aux textures inouïes et à la virtuosité rythmique de la musicienne, disparue en 2017.

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