CANTONA_(c)Elsa-Schulhof

Éric Cantona

Cantona sings Éric

Musiques
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    Ajouter à mon agenda 2024-11-15 00:00:00 2024-11-15 00:00:00 Éric Cantona « Au-delà de la ligne de touche, il n’y a rien » affirmait Jacques Derrida, philosophe qui s’était rêvé footballeur dans sa jeunesse. Cette assertion, Éric Cantona n’a jamais cessé de la contester. Surtout depuis le 11 mai 1997 où, au terme de son dernier match, il échangea son maillot de Manchester United avec un adversaire avant de regagner les vestiaires et clore ainsi une carrière à nulle autre pareille, plus proche de celle d’une rock star que d’un avant-centre lambda. Depuis, celui qui fut baptisé tour à tour « l’enfant terrible », le « wild boy », le « brat » (sale gosse), mais aussi le « King », tant pour ses exploits que pour ses frasques, occupe le hors-champ footballistique comme aucun grand nom du sport avant lui. Acteur de théâtre et de cinéma, pour Étienne Chatiliez et Ken Loach notamment, il a fait de la peinture, de la poésie, de la photographie, comme autant de prolongements d’une œuvre globale, l’extension d’une nécessité absolue de s’exprimer qui le dévore depuis l’enfance, et dont le stade n’aura finalement été que la scène inaugurale. Il ne manquait que la musique à cette quête impérieuse. Une lacune qu’il a comblée à l’automne dernier avec un premier EP. Après une première série de concerts en Europe début 2024, un album live accompagnera la tournée française à l’automne prochain. Coopérative de Mai Ville de clermont admin@admin.fr Europe/Paris public
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  • 15 NOV
Coopérative de Mai
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« Au-delà de la ligne de touche, il n’y a rien » affirmait Jacques Derrida, philosophe qui s’était rêvé footballeur dans sa jeunesse. Cette assertion, Éric Cantona n’a jamais cessé de la contester. Surtout depuis le 11 mai 1997 où, au terme de son dernier match, il échangea son maillot de Manchester United avec un adversaire avant de regagner les vestiaires et clore ainsi une carrière à nulle autre pareille, plus proche de celle d’une rock star que d’un avant-centre lambda. Depuis, celui qui fut baptisé tour à tour « l’enfant terrible », le « wild boy », le « brat » (sale gosse), mais aussi le « King », tant pour ses exploits que pour ses frasques, occupe le hors-champ footballistique comme aucun grand nom du sport avant lui. Acteur de théâtre et de cinéma, pour Étienne Chatiliez et Ken Loach notamment, il a fait de la peinture, de la poésie, de la photographie, comme autant de prolongements d’une œuvre globale, l’extension d’une nécessité absolue de s’exprimer qui le dévore depuis l’enfance, et dont le stade n’aura finalement été que la scène inaugurale. Il ne manquait que la musique à cette quête impérieuse. Une lacune qu’il a comblée à l’automne dernier avec un premier EP. Après une première série de concerts en Europe début 2024, un album live accompagnera la tournée française à l’automne prochain.