Crédit photo : Joel Sternfeld, McLean Virginia, in American Prospects, 1978

Conférence inaugurale - Sébastien Marot

Faut-il (se) préparer (à) un exode urbain ?

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    Ajouter à mon agenda 2024-09-11 00:00:00 2024-09-11 00:00:00 Conférence inaugurale - Sébastien Marot Conférence inaugurale de l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand    « Faut-il (se) préparer (à) un exode urbain ? »    Pour cette première lecture de l’année, nous aurons le plaisir d’accueillir Sébastien Marot, professeur HDR d’Histoire de l’environnement à l’École d’architecture de Paris-Est et professeur invité à l’École polytechnique fédérale de Lausanne.    « En 1972, Rem Koolhaas inaugura sa carrière d’architecte avec “Exodus, ou les prisonniers volontaires de l’architecture”, une sorte de conte-scenario qui, radicalisant la dynamique séculaire de l’exode rural, pointait vers un futur de congestion métropolitaine. Cinquante ans après, les préoccupations environnementales pourraient bien nous conduire à renverser l’inspiration de ce conte pour envisager au contraire un futur de dispersion et d’exode urbain qui, en réarticulant localement l’agriculture et l’architecture, s’appliquerait à (re)construire des mondes. » Comédie de Clermont - Scène nationale Ville de clermont admin@admin.fr Europe/Paris public
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  • 11 SEP
20h30
Comédie de Clermont - Scène nationale
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Conférence inaugurale de l’École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand 

 

« Faut-il (se) préparer (à) un exode urbain ? » 

 

Pour cette première lecture de l’année, nous aurons le plaisir d’accueillir Sébastien Marot, professeur HDR d’Histoire de l’environnement à l’École d’architecture de Paris-Est et professeur invité à l’École polytechnique fédérale de Lausanne. 

 

« En 1972, Rem Koolhaas inaugura sa carrière d’architecte avec “Exodus, ou les prisonniers volontaires de l’architecture”, une sorte de conte-scenario qui, radicalisant la dynamique séculaire de l’exode rural, pointait vers un futur de congestion métropolitaine. Cinquante ans après, les préoccupations environnementales pourraient bien nous conduire à renverser l’inspiration de ce conte pour envisager au contraire un futur de dispersion et d’exode urbain qui, en réarticulant localement l’agriculture et l’architecture, s’appliquerait à (re)construire des mondes. »